Depuis 20 ans, le suivi de la filière VHU belge est assuré par une structure simple adaptée à la dimension du pays.

Alors qu’en France, le débat sur les différentes formes possibles d’éco-organisme VHU pose nombre de questions et d’inquiétudes, l’exemple belge est intéressant. Pas question de faire de comparatif entre les deux pays. Les volumes belges sont moindres avec un parc roulant réputé meilleur qu’en France. En l’absence de constructeurs, la distribution est assurée par des importateurs mettant de fait tous les opérateurs au même niveau. Le pays est un gros exportateur de ses VO, mais également de ceux provenant de toute l’europe, le port d’Anvers ayant supplanté celui du Havre. Particularité importante, la Belgique est divisée en 3 régions indépendantes, soit autant de particularismes (langue, réglementation). Concernant le VHU, les 3 régions se sont accordées pour que le démolisseur utilise un outil statistique mis à sa disposition,  convergeant de fait vers le logiciel de Febelauto.

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